11-Septembre

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Un professeur dit que des “charges coupantes” ont fait effondrer le WTC

Bellaciao

par Christopher Bollyn
Journaliste à l'Americain Free Press
repris par Bellaciao le dimanche 7 mai 2006
Provo, Utah (USA)


Pose de charge de découpes sur une colonne en acier
Pose de charges coupantes sur une colonne en acier
(toutes images ajoutées)


Preuve de thermite découverte au World Trade Center

« En des temps de fraude universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire », a dit l’auteur britannique George Orwell. Les mots de Orwell décrivent pertinemment la situation de Steven E. Jones, un professeur à la voix douce de l’Université Brigham Young (BYU) qui s’est intéressé aux questions sans réponses des attentats du 11 septembre.


Provo, la ville de BYU, est la ville la plus conservatrice dans le comté le plus républicain. Avec plus de 85 % de la population soutenant le Président George W. Bush, Provo semble un endroit peu probable pour tout acte "révolutionnaire" - à moins que l’acte ne dise simplement la vérité.

Sur le campus pittoresque de l’université Mormon privée, entourée de pics enneigés, Jones enseigne la physique et fait de la recherche dans les domaines de la fusion des métaux par catalyse, l’énergie solaire et l’archéométrie ou l’étude et l’analyse scientifiques des artefacts. En tant que archéométriste, Jones applique la physique pour expliquer les événements du passé. Depuis l’an dernier, où il devint conscient des questions sans réponse sur le 11/9, il a centré son attention sur les données disponibles et les faits.

La présence inexpliquée de métal fondu au World Trade Center a déconcerté Jones et il a contacté cet auteur pour confirmer les rapports publiés en premier lieu dans American Free Press en 2002. Ces rapports sont venus de deux hommes impliqués dans l’enlèvement des décombres : Peter Tully de Tully Construction de Flushing, N.Y., et Mark Loizeaux de Controlled Demolition, Inc.

Tully a dit à l’AFP qu’il avait vu des mares d’ « acier littéralement fondu » dans les décombres.

Loizeaux a confirmé ceci : « Oui, des points chauds d’acier fondu dans les sous-sols », il a dit, « en bas des puits d’ascenseurs des tours principales, en dessous de sept niveaux ».

De l’acier fondu fut trouvé « trois, quatre, et cinq semaines plus tard, quand les décombres étaient enlevés », il a dit. Il a confirmé que l’acier fondu fut trouvé également au WTC7, qui s’est mystérieusement écroulé en fin de l’après-midi.


Enquête sérieuse

En novembre dernier, Jones a présenté un brouillon qui a évolué depuis en un papier de 52 pages. Son papier commence avec un appel pour « une enquête sérieuse sur l’hypothèse que le WTC7 et les Tours Jumelles furent détruites (...) par l’utilisation de charges coupantes pré-positionnées. »

Jones présente la preuve qu’un « processus aluminothermique » appelé "thermite" fut utilisé pour affaiblir et couper les 47 colonnes massives du noyau qui soutenaient les tours. La version officielle échoue à expliquer comment ces colonnes critiques ont lâché. Une fois allumée, la thermite, une combinaison d’aluminium et d’oxyde de fer (rouille) finement réduits en poudre, coupe l’acier comme un « couteau brûlant à travers le beurre », a dit Jones, particulièrement quand c’est mélangé avec 2% de soufre. La combinaison résultante, appelée "thermite", abaisse le point de fusion de l’acier.

La thermite a été introduite en Allemagne par Hans Goldschmidt à la fin des années 1800. Des températures extrêmement hautes sont produites quand l’aluminium et l’oxyde de fer réagissent. La réaction produit des températures de plus de 2500 degrés Celsius quand l’oxyde ferrique est réduit en fer fondu. Le fer fond à 1535 degrés Celsius. La réaction provoque l’oxygène de l’oxyde ferrique à se lier à l’aluminium, produisant de l’oxyde d’aluminium, fer fondu, et approximativement 750 kilocalories par gramme de thermite. L’oxyde d’aluminium est une fumée blanchâtre.

L’AFP a assisté récemment à une présentation de la recherche de Jones sur le 11/9 à BYU. Jones a commencé avec un film de l’effondrement inexpliqué du bâtiment WTC7 de Larry Silverstein, à 17h25.

Quand Jones a été interviewé par Tucker Carlson de MSNBC, les producteurs ont refusé de diffuser ce passage vidéo court mais crucial.

AFP a observé les réactions de la thermite dans la classe de physique de Jones. Quand un collègue a combiné la rouille et l’aluminium pulvérulents dans un pot de fleurs en céramique, Jones a filmé la réaction. Une mèche en papier avec du magnésium a allumé le mélange ressemblant à du sable.

La réaction fut intense, presque explosive, et des flammes blanches et des morceaux de métal volèrent hors du pot. Du fond a coulé un liquide blanc brûlant - du fer pur fondu. Après quelques secondes, un morceau de fer chauffé au jaune fut soulevé avec des pinces et montré aux étudiants.

Parce que la thermite ne requiert pas d’air et peut réagir sous l’eau, cela peut expliquer les points chauds persistants qui n’étaient pas affectés par une aspersion continue des lances d’incendie. Le fer fondu blanc et les scories peuvent prolonger et étendre l’échauffement et l’action incendiaire.

« 21 jours après l’attaque, les incendies brûlaient encore et de l’acier fondu coulait encore », a dit Leslie Robertson, ingénieur en structures responsable de la conception du WTC, à des collègues ingénieurs.

Le film pris par WABC-TV de la Tour Sud en feu à 9h53, immédiatement avant que le building ne s’écroule, révèle de grandes quantités d’acier fondu blanc, vraisemblablement du fer, coulant du 81ème étage au coin est.

La quantité de métal fondu qui coulait suggère qu’une mare de fer fondu était dans cette zone du building. Bien que certains aient suggéré que le métal fondu soit de l’aluminium, c’est facilement réfuté par le fait que l’aluminium fondu est de couleur gris-argent à la lumière du jour. La seule explication possible est que le métal blanc en fusion coulant de la Tour Sud était du fer fondu et avait été produit par une très grande quantité de thermite.

La quantité de métal fondu observée en train de tomber indiquerait que des tonnes de thermite avaient été utilisées à cet étage. Du film, il apparaît que plusieurs mètres cube de métal fondu sont tombés, qui, si c’était du fer, pesaient plus de huit tonnes.

Le papier explosif de Jones est accessible sur sa page web (physics.byu.edu) et sera publié dans un livre à paraître par David Ray Griffin et Peter Dale Scott. Lire le papier de Jones en ligne permet au lecteur d’examiner l’évidence photographique/vidéo.

« Je considère les rapports officiels de la FEMA, NIST et Commission du 9/11 », écrit Jones, qui prétendent « que les incendies plus les dommages d’impact ont seuls causé les écroulement totaux des trois buildings. »

Il défie l’explication officielle et fournit la preuve pour soutenir l’hypothèse de démolition contrôlée, qui, dit-il, « est suggérée par les données disponibles, testable et falsifiable. »

Jones note que l’hypothèse disant que les tours furent démolies par des explosifs « n’a pas été analysée dans aucun des rapports financés par le gouvernement américain. »

Ignorant la preuve de l’hypothèse de la démolition contrôlée, l’étude de 2002 sponsorisée par la FEMA a conclu que « les caractéristiques des incendies dans le WTC7 et comment ils ont provoqué l’écroulement du bâtiment restent inconnues. »

En outre, le rapport officiel a trouvé que l’hypothèse de l’écroulement induit par les incendies « n’a qu’une faible probabilité d’occurrence. »

Les ingénieurs ont conclu que « des recherches, enquêtes et analyses complémentaires sont nécessaires pour résoudre cette question. »

« C’est précisément la question », dit Jones, « des enquêtes et analyses complémentaires sont nécessaires en effet, y compris une considération sérieuse de l’hypothèse de démolition contrôlée qui est négligée dans tous les rapports du gouvernement. »

Le fait que le rapport de la Commission du 9/11 ne fasse même pas mention de l’écroulement du WTC7 « est une omission frappante de données hautement pertinentes vis-à-vis de la question de ce qui s’est réellement passé le 11/9 », a-t-il.

Colonne coupée en biais dans les décombres des Tours Jumelles au World Trade Center
Colonne coupée en biais dans les décombres du World Trade Center (attention, cela peut avoir été l'oeuvre de l'équipe de déblayage).


Enquête complémentaire

Une enquête complémentaire est ce que Jones essaie de faire faire aux autres scientifiques. On penserait que les médias dominants seraient intéressés par un physicien hautement respecté répondant à des questions sur le 11/9, mais cela n’a pas été le cas. Les médias et les supporters contrôlés de la version officielle ont totalement évité Jones.

Comme un Galilée ou un Luther des temps modernes, Jones a exposé les failles dans la version officielle, « un mythe », dit-il, « qui a pris des proportions religieuses.

Il y a un fossé net entre ce que les rapports officiels disent qu’il est arrivé et ce qui est réellement arrivé », dit Jones. « Une théorie scientifique doit être réfutable. Elle doit être capable d’être testée et mise en question.

Les données sont là par elles-mêmes. Où sont les scientifiques honnêtes ? » demande Jones. « Enlevez les œillères et découvrez ce qui est arrivé. »

Les rapports officiels du 11/9 sont ce que Jones appelle « science pathologique », dans laquelle les enquêteurs ignorent toute preuve qui contredit la conclusion qu’on leur a demandée de prouver.

AFP a contacté trois scientifiques qui soutiennent la théorie officielle pour demander s’ils examineraient le papier de Jones.

Thomas W. Eager du MIT a refusé de voir le papier et a dit qu’il n’y a pas de preuve de métal en fusion coulant du WTC. Mis au défi de l’évidence, il a raccroché.

Zdenek P. Bazant de la Northwestern University a soumis sa théorie de l’écroulement induit par les incendies à la American Society of Civil Engineers (ASCE) deux jours après le 11/9, sans examiner aucune preuve. Questionné s’il examinerait le papier de Jones, Bazant a aussi refusé, « J’ai déjà vu la fiction de Jones auparavant. Si vous voulez mon avis personnel, ce n’est que du sensationnalisme », a-t-il dit. « Sa réfutation prétendue de mon analyse est sans fondement. »

Quand on lui a demandé de regarder simplement cinq photos dans un e-mail montrant la cascade de métal en fusion et des colonnes du noyau, qui semblent avoir été coupées par de la thermite, Bazant a répondu, « Je n’ai pas le temps. »

Abolhassan Astaneh-Asl, un professeur d’origine iranienne à Berkeley, qui était un membre de l’équipe ASCE étudiant l’effondrement du WTC, a aussi refusé de regarder le papier de Jones. « Je ne trouverai pas le temps d’examiner ce matériel que vous m’avez envoyé », a dit Astaneh-Asl.


Christopher Bollyn


De : http://www.americanfreepress.net/ht...
traduit là : http://www.onnouscachetout.com/foru...